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Alger, capitale des révolutionnaires

Algerie, 1972

Après que l’Algérie ait obtenu son indépendance au prix d’une lutte meurtrière, elle a ancré dans sa constitution le droit d’asile pour tous les révolutionnaires et les mouvements de libération. Il y est dit : « Le développement du socialisme en Algérie est étroitement lié au combat pour la liberté d’autres peuples dans le monde. Assister chacun de ces mouvements révolutionnaires dans sa lutte est un devoir de première instance et ce soutien ne sera en aucun cas l’objet de mainpulations ou de tentatives d’extorsion. »
Des groupes de résistance africains, sud-américains et arabes ont répondu à cette invitation et se sont établis à Alger. Des bureaux ont aussi été mis à la disposition de mouvements autonomistes européens et des « Panthères Noires » des Etats-Unis, de sorte qu’une soixantaine d’organisations étaient représentées. Il y avait donc là une occasion unique d`enquêter sur les différents courants révolutionnaires de l’époque ainsi que sur les réactions du gouvernement algérien à leur politique et sur la relation des mouvements de libération entre eux.

Rédaction : Gordian Troeller und Marie-Claude Deffarge
Collaboration : Didier Baussy Kamera: Gordian Troeller
Montage : Marguerite Oboussier
45 minutes
Couleur

Ce film n’existe que dans sa version allemande.

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